La disparition de Laurenzo doit remettre nos modes de fonctionnement en question. Il faudra assurer sa relève. Il était la plupart du temps seul à entretenir les chemins d'accès, à débroussailler les réceptions des blocs et les abords de nombreuses falaises.
Il travaillait aussi conjointement avec Armand Baudry pour l'équipement, la sécurité et le nettoyage des voies.